A la Renaissance l'essentiel des fermetures se fait par laçage à une seule boucle, dans des œillets brodés ou des ganses, et plus exceptionnellement par un boutonnage dans des ganses.
Il est à remarquer que les bords des vêtements ne se recouvrent pas et même parfois un espace est aménagé.
Mais l'époque n'est plus celle où une ribambelle de serviteurs passait les vêtements de ces gentils sires et ses gentes dames, aujourd'hui il nous faut du pratique quitte à bousculer la rigueur historique.
Aussi je m'autorise les pressions métalliques ainsi que les agrafes et les bandes à crochets qui ont le mérite d'être invisibles, toutefois je me refuse obstinément la pose de fermetures éclair.
le problème des boutons est tout autre, pas de quatre trous, mais des boutons boule, petits de préférence, ou des perles.
Mais l'époque n'est plus celle où une ribambelle de serviteurs passait les vêtements de ces gentils sires et ses gentes dames, aujourd'hui il nous faut du pratique quitte à bousculer la rigueur historique.
Aussi je m'autorise les pressions métalliques ainsi que les agrafes et les bandes à crochets qui ont le mérite d'être invisibles, toutefois je me refuse obstinément la pose de fermetures éclair.
le problème des boutons est tout autre, pas de quatre trous, mais des boutons boule, petits de préférence, ou des perles.
